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Dédé Nail Kesova & Indira Melloul

Indira Esther MichEle MELLOUL

un Parcours de vie a travers la Danse

 

Indira Melloul, danse thérapeute, psychothérapeute Gestaltiste, superviseur, anime des ateliers de danse derviche tourneur depuis une dizaine d'années en France, au Maroc et en Turquie.

Elle expérimente cette pratique depuis plus de vingt cinq ans.

Elle débute en Inde auprès d'un Maître soufi et se nourrit d’approches diverses. Elle développe son art à travers différentes techniques corporelles, alliant les danses traditionnelles, les danses sacrées, les méditations dynamiques, permettant l'expérience d'une rencontre du corps avec la Source. 

 

Elle propose également de la guidance, un accompagnement thérapeutique & spirituel. 

 

La danse est sa porte d'entrée pour célébrer la vie et le divin. Pour Indira, la danse est un moyen d'expression qui permet de se dépasser et de transformer l'énergie ambiante. Très jeune, elle se sentait reliée à l'Univers, à l'Immensément Grand, à la beauté de la Nature. 

 

Dès l'âge de 7ans, elle pratique les danses folkloriques du monde entier qui fédèrent, procurent beaucoup de joie, d'enthousiasme, d'exaltation. L'impression de toucher une dimension lumineuse à la fois à l'intérieur de soi et qui se propage à l'extérieur en communion avec l'Univers. 

 

Son cheminement en danse est riche et coloré : tant par les cultures et les approches différentes. Notamment à travers les danses folkloriques israéliennes, yéménites, puis les danses égyptiennes, orientales. Chacune apportant sa couleur, son intensité, sa saveur, son expression.

Puis à l'université des Sciences de l'éducation à Paris VIII, en 1983 elle rencontre l'Expression Primitive grâce à France Schott Billmann, puis Erns Duplan, originaire d'Haîti. Et se formera à la danse thérapie plusieurs années. Dans ce cursus elle pratiquera la danse indienne avec Amala Devi, le travail du rythme et la percussion. Poursuivant son chemin au travers de rencontres, elle pratiquera la danse afro-brésilienne avec Eneida Castro et parallèlement dansera plusieurs années la Samba au sein d'écoles brésiliennes. A nouveau une belle rencontre en Afrique, dans le berceau de l'humanité, au Burkina Faso avec Mama Moussognouma Kouyaté explorant à travers les rituels de passage la danse africaine. 

 

Toutes ces danses et expressions ont en commun qu'elles s'enracinent dans une culture, une histoire. Elles illustrent les gestes de la vie quotidienne, les étapes importantes dans le cheminement du développement comme des rites d'initiation qui permettent tout en célébrant, de grandir, de se dépasser dans un esprit d'ouverture, de reliance, de partage et d'expansion.

 

Elle a participé à un collectif de chercheurs scientifiques universitaires (Paris IV La Sorbonne et Pierre et Marie Curie) dans la mise en place d'ateliers de recherches auprès des étudiants où la science est incarnée, mise en geste. Inauguration du planétaire au Jardin des plantes avec la Cie Derviche Caravane.

 

Son parcours spirituel dans la Rencontre avec des Hommes Remarquables :

 

Elle est initiée aux "sources" du judaïsme à « Mayanot » en Israël, auprès du Maître Léon Ashekenazi, Kabbaliste, un pionnier de l’ouverture sur les autres cultures et pratiques religieuses pendant une année en 1980. Son ouverture sur l’Autre, son questionnement, sa vision, son intérêt sur le vécu ou la perception de l’Autre lui ont insufflé, d’une certaine façon, l’envie de découvrir, d’approcher et d’expérimenter d’autres façons de vivre la spiritualité. 

Très tôt, elle exprime un vif intérêt pour des formes d’expression et de danse qui mettent en relation la place de l’Homme et de sa relation avec l’Univers. Poursuivant son cheminement et sa quête de l’Absolu, de l’Unité, elle découvre les ouvrages de Rûmî. La lecture de ses poèmes et de ses livres a été une source de révélation et de reconnexion avec un sentiment profond de « déjà connu », de familier, ce sentiment ne l’a jamais quitté.

 

Elle s’ouvre alors au soufisme, à l’indouisme, au tantra avec Margot Anand puis à l’Ashram d’Osho en Inde où est initiée au tournoiement derviche, participera à plusieurs séminaires : "Die before your die"(Mourir avant sa propre mort), à l'exploration des 7 chakras par la danse; au chamanisme au Pérou auprès du Dr Jacques Mabit. Puis Elle multiplie les voyages expérientiels en Inde. Elle pratique également le bouddhisme avec un Maître Bouddhiste tibétain, Sa Sainteté Gyalwan Droukpa, Le Drugchen, qui a un Ashram en Bretagne, et qu'elle suivra notamment lors d'un pèlerinage sur le toit du monde au Tibet. 

 

Elle rencontre ensuite des Maîtres soufis :

 

-  José Reyes de République Dominicaine, instructeur de Mouvements Gurdjieff, avec qui elle pratique intensément les danses sacrées en participant à de nombreux séminaires depuis 2007, où la vie en communauté est largement inspirée du travail de Mr Gurdjieff et au Développement Harmonique de l'Homme. 

Film de référence : "Rencontre avec des Hommes Remarquables" de Peter Brook

 

-  Nail Dédé Kesova, Cheikh de la lignée de Rûmî, du centre Galata à Istanbul qu'elle rencontre en décembre 2009. Dédé la consacre, "Semazen Baschir" Maître de danse derviche tourneur lors de leur premier séminaire en commun en mai 2010. 

 

Aujourd’hui, pour Indira Melloul, la danse derviche tourneur est un "hymne à la joie", une passerelle entre le Ciel et la Terre qui offre la possibilité de se reconnecter à l'essentiel, à l'Essence. Elle permet d’entrer en mouvement afin de réveiller le corps de son endormissement, de l’anesthésie des sensations.

 

Cette danse sacrée développe l'enracinement, l'ouverture de coeur, la connexion au céleste. Ainsi verticalisé, l'Etre Humain tournoyant reçoit la grâce divine et la transmet à la terre et à tous éléments de la nature. 

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Puis sa dernière aventure et rencontre avec ses origines après 40 ans d'errance, d'exil et de recherche de vérité en Ukraine auprès de  Rabbi Nahman de Breslev à Ouman. 

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José Reyes

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